J'ai osé une expérience uro intimiste

Catégories : Champagne doré pipi culotte uro Golden shower FETICHISMES au pluriel
il y a 9 ans

J’ai passé une annonce ! Depuis le temps que j’en avais envie :

Jeune homme célibataire, vingt-quatre ans, région (x…) rencontrerait femme ou JF pour expérience uro intimiste, âge indifférent »

J’ai mis intimiste parce que je cherche une partenaire, une seule, ou du moins une à la fois ; pas envie de groupe à trois ou quatre, les partouzes, c’est pas du tout mon affaire.

Relation uro, jeux de pipi, j’en rêve ! Mais pas facile de dénicher l’oiseau rare qui acceptera de partager vos envies, c’est le cas de le dire ! J’en ai fait l’expérience ; les quelques filles à qui j’ai proposé cela se sont enfuies en courant et doivent courir encore, ou bien m’ont carrément conseillé de me faire soigner !

Triste.

D’ où l’annonce sur le net ; pas vraiment sur un site spécialisé, non, curieusement, je n’ai pas trop confiance, je ne sais pas, cela ne fait pas vrai, pas crédible, et puis bonjour la vulgarité ! Non, un site plus généraliste assez ouvert pour accepter ce genre de pratique et qui dispose d’une partie » petites annonces »

Donc, y’a plus qu’à ;

Plus qu’à attendre une éventuelle proposition

Si elle vient un jour, parce que ça ne se bouscule pas au portillon, du moins dans ma zone géographique ; en fait, j’ai bien une réponse, mais à l’autre bout de la France, et s’il faut prendre le TGV quand l’un ou l’autre à envie, même avec une bonne capacité de retenue, je ne suis pas trop sûr que cela marche bien longtemps, et je ne parle pas du coût prohibitif de ce genre de relation à longue distance !

Alors, j’attends ;

Bon, je ne fais pas que cela, bien sûr ; j’ai ma vie, assez bien remplie d’ailleurs, même si elle manque un petit peu de femmes depuis quelque temps ; je bosse dans les assurances, et j’ai deux passions, la peinture et la musique qui me prennent tout mon temps libre, mais, j’avoue que cette relative solitude me va assez bien, pour l’instant du moins, d’ autant qu’ elle m’autorise toute liberté de mouvements pour assouvir mes fantasmes

Comme rechercher une partenaire pour m’adonner à des relations uro, par exemple ;

Et cette partenaire, je crois qu’elle arrive ….

Tout vient à point à qui sait attendre, paraît- il, et bien la preuve, c’est au moment où je n’y croyais (presque) plus, que je reçois un message privé

» Bjr, je suis une femme célibataire de trente-huit ans, de (x…) et moi aussi je suis tentée par une expérience uro, on pourrait peut -être se rencontrer pour faire connaissance ? »

Je l’ai relu trois fois avant d’y croire ! Chez moi, dans ma ville, dans ma rue, si cela se trouve !et célibataire !je rêve !

Bon, elle a trente-huit ans, ce n’est pas très jeune, mais ça n’est pas vieux non plus ; Faut voir, et pour voir, il n’y a qu’à donner suite, et là, c’est sûr que je ne vais pas laisser passer l’occasion !

Oui mais ; en y réfléchissant, quid de cette femme ? Parce que si elle a lu mon annonce, c’est qu’elle va sur des sites de rencontres coquines… alors ?

Nymphomane ? Aventureuse ? Croqueuse d’hommes ? Bon, d’un autre côté, en passant une annonce, c’est sûr que je ne vais pas tomber non plus sur une vierge de la dernière couvée, quoique… de toutes façon, on verra bien, il est temps de contacter la dame en question, par mail.


Et voilà ; il est convenu de se rencontrer samedi, à quinze heures devant la maison de la presse ; je ne lui ai pas donné mon nom, mais en signe de reconnaissance, j’aurai un quotidien sportif bien connu à la main

J’adore les films d’espionnage !

Ce samedi, il fait beau et il y a du monde devant la maison de la presse, c’est vrai qu’elle est encadrée par deux brasseries avec des terrasses pleines à craquer ; je suis largement en avance, et, avec une impatience mêlée d’un peu d’appréhension, je me promène parmi la foule des badauds ; et, évidemment à chaque femme que je croise, je me pose la même question : c’est elle ? Non, trop jeune, celle-ci ? Peut-être, elle semble avoir l’âge, et puis non, elle a des enfants ! Celle-là ? Pourquoi pas …mais non, elle est accompagnée ! Cela finit par en devenir énervant ! D’ailleurs, il est temps que j’aille acheter mon journal.

Flûte ! Ma voisine du dessus, devant la porte d’entrée ! Ce n’est pas elle quand même ! On se connait juste comme ça, bonjour bonsoir ; mais c’est pourtant vrai qu’elle est célibataire et qu’elle doit avoir dans ces âges-là… ce serait le comble ! et marrant ! Et alors là, tant pis si elle n’est pas vraiment mon genre.

J’en ferais quand même mon quatre heures…

Je la salue d’un petit signe de tête avec un beau sourire, elle y répond de la même façon et j’entre acheter mon canard.

Je ressors en le montrant ostensiblement, elle n’y prête aucune attention, bon, ce n’est pas elle ;

Un coup d’œil sur ma montre, elle marque quinze heures cinq ; alors, elle est où ? Mon rendez-vous.

Je finis à peine de me poser la question que quelqu’un me tapote l’épaule ; je me retourne, c’est une femme qui me sourit

  • Excusez ces manières un peu cavalières, mais vous êtes sans doute la personne avec qui j’ai rendez-vous, si je m’en réfère à votre journal ….

Et là, je dois dire que je m’attendais pas à cela ! J’en suis subjugué

La femme qui se tient devant moi est une beauté, n’ayons pas peur des mots ! Mais comment ai- je fait pour ne pas la pas remarquer ? Sûrement parce qu’elle vient d’arriver, c’est la seule explication !

Elle est grande, fine, les cheveux blonds ondoyants, un visage parfaitement dessiné avec un petit nez retroussé et une bouche sensuelle dont les lèvres charnues sont mises en valeur par un gloss. Délicat ;

Elle est vêtue avec recherche, d’une veste longue en cuir fauve sur un sous pull à col roulé noir et d’une courte jupe droite de couleur grise ; suspendu à l’épaule, un petit sac à main, en cuir également ;

Je souris gauchement, un rien agacé de m’être laissé surprendre

  • Oui ! Le journal sportif, c’est moi ! Excusez-moi si j’ai l’air un peu étonné, mais c’est à dire que, en fait je ne vous voyais pas comme ça… et je dois dire que je suis agréablement surpris

Elle rit.

  • Et comment me voyiez-vous donc ?

  • Ben, si je peux me permettre, vous ne faites pas votre âge, du tout ; alors, je me présente, moi c’est Julien, ravi de faire votre connaissance

Elle me tend la main

  • Vous êtes gentil ! moi c’est Cécile, Cécile Bouchardeau ; eh bien, voyez-vous, les gens sont rarement tels qu’on se les imagine, et je dois avouer que je suis toute aussi surprise que vous …

Hé, cela s’annonce bien ! Mais bon, on ne va pas se faire des politesses et des compliments comme cela jusque ‘à demain ; je lui propose d’aller prendre un verre à une des terrasses qui nous tend les bras ; elle accepte volontiers.

Perrier citron pour elle, diabolo menthe pour moi, on se sourit sans trop savoir quoi se dire ; pas facile d’aborder comme ça, de but en blanc le sujet qui nous intéresse, alors, on parle de la pluie et du beau temps, ce n’est pas un temps de saison, et ceci et cela … oui mais bon, on ne s’est pas donné rendez-vous pour parler météo !

Alors, je me lance

  • Vous êtes célibataire ?

Question stupide en soi, puisque je le sais, mais il faut bien commencer par quelque chose ….

  • Je suis veuve, en réalité, mon mari s’est tué dans un accident de la route, il y a deux ans de cela

  • Je suis désolé ….

  • Ne soyez pas désolé, vous ne pouviez pas le savoir, et puis si mon mari était un grand architecte, c’était aussi, hélas, une brute et un tyran -et je ne devrais peut-être pas vous dire cela- mais j’en ai souffert au point d’avoir ressenti sa disparition comme un soulagement

Flûte, une veuve martyre, je ne me sens pas très à l’aise, d’un seul coup ! Elle s’en aperçoit, me sourit.

  • Mais parlons d’autre chose, voulez-vous ? Et si nous marchions un peu ?

  • Si vous voulez

On marche, je lui parle de moi, de mes passions, de mes projets avortés et de ceux que je cogite.

Elle m’ écoute, intéressée, étonnée même parfois ; et puis elle me parle d’elle, j’apprends qu’elle exerce la profession d’architecte d’intérieur, qu’elle vit normalement avec sa belle-fille de dix-huit ans, d’un premier mariage de son mari, mais qu’elle ne voient jamais, puisque la demoiselle préfère vivre à Paris et, à la façon dont elle en parle on sent bien que ce n’est pas vraiment l’entente cordiale entre les deux femmes, et si je me garde bien de poser la moindre question à ce sujet, je finis quand même par lui poser celle qui me brûle les lèvres :

  • Mais, pour en venir à ce qui nous rapproche, comment en êtes-vous venue à mon annonce ?

Elle se tourne vers moi en souriant

  • Google, tout simplement, c’est fou ce que l’on peut trouver là-dessus quand on cherche un peu, mais n’allez pas croire pour autant que je fréquente ce genre de site de rencontres, cela n’est pas du tout mon genre, si c’est ce que vous voulez savoir ….

Holà ! Pas qu’elle aille s’imaginer des choses, madame Bouchardeau… Je m’écrie presque :

  • Moi non plus ! Je cherchais simplement un site où mettre mon annonce, rien de plus, et si je peux me permettre, je crois que j’ai eu là une bonne idée

Elle a une moue dubitative

  • C’est peut-être un peu prématuré pour le dire… mais sait-on jamais.

Diable ! Elle n’a pas l’air très enthousiaste, la madame.

  • Vous n’y croyez pas ?

Elle semble réfléchir un instant, s’arrête et se tourne vers moi

  • Vous savez ce que nous allons faire. On va se quitter, là, maintenant que nous avons fait connaissance, et puis prendre le temps de la réflexion, voir si on a envie de donner une suite à notre rencontre ou pas, d’accord ? Pour ma part, si c’est oui, je vous contacterai, sinon n’insistez pas, cela ne servirait à rien ; en tout cas, Julien, j’ai passé un agréable moment en votre compagnie…

Ouais, ça va, j’ai compris, pas la peine de me faire un dessin, c’est raté ! J’essaie de faire bonne figure pour lui dire que moi aussi, j’ai été très heureux, bla bla bla et on se quitte sur une poignée de main, assez sèche.

Déçu ! Et c’est rien de le dire ! Je ne sais pas pourquoi, mais je voyais cette rencontre autrement, plus chaleureuse, plus intimiste ; alors que là, j’ai la désagréable impression d’avoir passé un entretien d’embauche ! Et puis surtout, on a à peine effleuré le pourquoi de notre rendez-vous ! Ça veut dire quoi ? Mais bah, au fond peut-être que je ne lui plais pas, à cette jolie veuve ! Dommage, vraiment, car des beautés pareilles, je ne vais pas en rencontrer tous les jours …

Mais ma déception est de courte durée, puisque le soir même je reçois un message ainsi libellé

» Si vous souhaitez me revoir, je vous attends chez moi demain dans la matinée, au 10 avenue de la Paix »

Bingo ! Gagné ! Elle n’aura pas réfléchi bien longtemps, la belle architecte, et moi je me suis trompé ! De joie, je m’en laisse tomber sur le lit, les bras en croix ; j’ai le cœur qui bat à cent à l’heure ! Ah bon sang, que la vie est merveilleuse quelquefois ! Vivement demain ! Et je me mets alors à rêver à de futurs, mais encore hypothétiques moments de félicité, parce que, quand même je la trouve un peu timorée, Cécile Bouchardeau…


Dix heures trente, ça y est, nous y sommes ! Ou plutôt, j’y suis ! Le cœur battant, devant le 10 avenue de la Paix; une maison bourgeoise, parmi d’autres demeures cossues dans un quartier chic.

Je me suis mis sur mon trente et un, mais je ne suis pas vraiment à mon aise, et malgré moi je me sens un peu impressionné ; coup de sonnette discret, attente de courte durée, et c’est elle même qui vient m’ouvrir ; je ne sais pas pourquoi, mais je m’attendais à un valet de pied ou une bonne, à cause du quartier, sans doute.

Elle est encore plus belle qu’hier, dans une robe de chambre en polaire mauve serrée à la taille ; elle m’accueille avec un large sourire, qui contraste singulièrement avec sa relative froideur de la veille, pourtant il me semble déceler un soupçon de reproche dans son » je vous attendais » mais je n’en ai cure, et de toute façon, nous n’avions pas convenu d’une heure précise

Je la suis dans ce qui semble être un salon, mais dans lequel tiendrait une grande partie de mon appartement ; Ici tout est blanc, murs blancs, meubles bas couverts de livres et de revues, blancs également, tout comme le canapé en cuir. Aux murs, des toiles d’ inspiration résolument moderne apportent des touches de couleurs vives, voire même criardes, mais sans jamais être dérangeantes -on sent que la maîtresse de maison a du goût et des moyens- et enfin, lui aussi accroché au mur, l’inévitable écran de TV.

Tout sourire, ma jolie veuve, aimable est prévenante ; elle me propose un café que j’accepte bien volontiers, me le sert et pour finir, vient s’asseoir près de moi, sur le canapé.

  • Et maintenant, Julien, si nous abordions le sujet qui nous intéresse

Enfin ! Nous allons passer aux choses sérieuses, d’ailleurs ostensiblement, elle se rapproche, presque contre moi ; l’envie me prend de poser la main sur elle, mais c’est peut-être encore un peu tôt..

  • Allez, dites-moi tout, Julien, j’ai envie de tout savoir sur vous, par exemple, depuis quand, ce désir d’une expérience uro avec quelqu’un ?

C’est l’heure des confidences ! Alors je lui raconte, mes premières envies de jouer à « touche pipi « qui remontent à l’adolescence, ce désir encore inassouvi de voir une femme uriner, la difficulté de faire admettre cette envie à mes relations, et jusqu’à cette idée de l’annonce sur le net, mais sans trop entrer dans les détails, il y a des choses qui ne la regardent pas, après tout…

Finalement, c’est elle qui pose la main sur moi

  • Mon » parcours » est assez semblable au vôtre, en fait , j’ai pris conscience très tôt du plaisir que faire pipi pouvait m’apporter ; et jusqu’à l’adolescence, je prenais plaisir à mouiller mes culottes, au grand désespoir de ma mère, qui évidemment était à cent lieues de se douter que c’était volontaire et que j’y prenais plaisir ! Plaisir que je m’accorde encore quelquefois, d’ ailleurs ; et puis un jour, il n’y a pas très longtemps, j’ai eu envie, comme vous, de partager mes « distractions » avec quelqu’un, et vous voilà…

Hé, pas si timorée que cela, finalement, la miss, et à l’écouter, je sens l’excitation me gagner… pourtant quelque chose me titille encore et je risque une question

  • Mais, et avec votre mari ?

Son regard s’assombrit et ses traits se durcissent ; compris ! Sujet tabou, à éviter !

  • Mon mari ? J’ai essayé de lui en parler une fois, il m’a menacée de me faire enfermer, je n’ai pas insisté, il aurait été capable de le faire …

Bon, moi non plus je n’insiste pas, mais cela devait être un drôle de coco, son bonhomme

  • Mais dites-moi…Cécile -je prends sur moi de l’appeler par son prénom, elle use bien du mien, elle- comment envisagez-vous notre relation, maintenant ?

Elle me prend la main, carrément

  • Mais de la manière la plus simple qui soit, Julien…

  • C’est à dire ?

Elle me sourit, se recule un peu, comme pour me voir en entier

  • Déshabillez-vous !

  • Pardon ?

  • J’ai dit déshabillez-vous, à moins que vous ne préfériez que j’inonde vos vêtements

J’ai un vague moment d’incompréhension, tout à coup ; à vrai dire je ne voyais pas du tout notre entrevue se dérouler de cette manière là

  • Ah parce que vous voulez faire sur moi maintenant ?

  • Mais oui, mon petit Julien, vous êtes venu pour cela, non ? Alors contentez-vous de faire ce que je vous demande, sans discuter

Diable ! Souriante, mais autoritaire ! Elle ne doit pas aimer qu’on lui résiste, Madame Bouchardeau ! Les jambes croisées et les mains sur les genoux, elle me regarde me dévêtir sans dire un mot ; boudiou ! Je crois que je n’ai jamais été aussi mal à l’aise devant une femme !

Quand j’ai terminé, elle se lève avec un petit sourire, mais nul désir ne se lit dans son regard ; que je sois nu devant elle semble la laisser totalement indifférente ; mais qu’est-ce que c’est que cette femme ? Je ne suis pourtant pas plus mal bâti qu’un autre ! J’avoue que je commence à me poser des questions ! D’autant qu’à ma grande surprise, au lieu de se dévêtir à son tour, elle m’invite à la suivre…

Un couloir, au bout du couloir, une porte, et derrière cette porte, une salle de bains. Comme je n’en ai encore jamais vue ! Immense ! Carrelée de bleu marine, des miroirs sur tous les murs, une robinetterie futuriste, et surtout le fin du fin pour moi, la baignoire encastrée dans le sol, il faut descendre pour y entrer !

  • Allez-y, Julien, couchez-vous dans la baignoire

Elle est gentille, elle ! C’est froid, une baignoire vide ! Mais bon, je ne discute pas ; tout en m’allongeant avec précaution, je la vois qui retire sa robe de chambre, enfin ! Dessous, elle ne porte qu’une nuisette mauve, très courte et quasi transparente, ce qui me permet de constater qu’elle n’a pas de culotte ; et puis, elle se place au-dessus de la » baignoire » relève un peu sa nuisette, s’accroupit, et sans vergogne, se met à m’inonder de son liquide doré.

O joie, ô bonheur ! Quelle jouissance, j’en bande ! et mon étrange compagne n’est pas en reste, les yeux fermés et la bouche grande ouverte, elle se soulage en s’accompagnant de profonds soupirs, elle prend son pied et son temps, la jolie Cécile ! Et puis, c’est fini ; elle se redresse, se rajuste et m’adresse un petit sourire

  • Merci Julien, j’attendais ce moment depuis tellement longtemps ! Je suis comblée. Bon, vous avez là de quoi vous doucher, ainsi qu’un peignoir, et je vous attends dans le salon, ne traînez pas….

Quoi, c’est tout ? Ben et moi alors ? Par ce que si elle, elle est comblée, moi je ne le suis pas du tout ! Surtout qu’avec la trique que j’ai entre les jambes, j’ai très envie de la combler d’une autre manière, moi, Madame Bouchardeau !

Je la retrouve au salon, installée dans son canapé et là, déception ! Je peux dire adieu mes espoirs de galipettes ! Elle s’est rhabillée ; et même si je la trouve sublime dans son tailleur anthracite sur un chemisier rouge, cela n’atténue pas ma contrariété, bien au contraire ! Et en plus, cela à l’air de l’amuser

  • J’espère que vous avez apprécié… parce que pour moi, vous n’imaginez pas la satisfaction que cela m’a apporté ! Uriner sur un homme, pour une femme, quel bonheur, vous ne pouvez pas savoir !

Ben voyons ! Je me demande à quel point elle ne se moque pas de moi… en fait

  • Dites-moi, Cécile, vous n’aimez pas les hommes ?

  • Qu’est- ce qui vous fait croire cela ?

  • Votre comportement, et puis figurez-vous que je voyais notre rencontre différemment, plus intime, moins …. Mécanique, plus érotique pour tout dire, j’avoue que je suis déçu

Elle se redresse d’un bond

  • Mais nous nous connaissons à peine, Julien ! Et puis, ne nous méprenons pas, j’ai accepté de vous rencontrer dans un but précis, et le sentiment n’a, en principe, rien à faire dans cette histoire ; pourtant je vais vous faire une confidence, vous m’êtes très sympathique, Julien, pour ne pas dire plus ; je viens de passer un moment merveilleux avec vous, et j’ai très envie d’en connaitre d’autres, alors, faites-moi confiance, la journée n’est pas terminée, non ? Allez, finissez de vous rhabiller, je vous invite à déjeuner dans un petit restaurant très sympa, paraît-il, et pas très loin d’ici

Bon ! Après tout, pourquoi pas… et puis, elle me plait, cette femme, alors …

Effectivement, le restaurant est sympa, la carte de qualité et le vin comme il faut ; on mange bien, on parle beaucoup, de tout, de rien, et même moi, qui suis d’habitude si réservé avec les femmes, je ne me reconnais pas ; j’ai tellement envie de la séduire, cette veuve, que je me sens sublimé ! Transcendé ! Encore un peu, j’en oublierais le motif de notre rencontre.

Pas elle.

C’est au moment de prendre le café, sa tasse à la main, le petit doigt levé comme il sied aux gens de bonne société, que Cécile s’est penchée vers moi

  • Julien, vous savez ce que je vais faire ? Quelque chose dont je rêve depuis longtemps… me soulager dans ma culotte dans un endroit public

J’ai failli renverser mon café.

  • Hein ? Pas ici, quand même ?

  • Si, ici

  • Mais vous êtes folle ! Ça va se voir !c’est plein de monde

  • Mais non ! Et c’est pour cela que je profite d’être avec vous, au moment de quitter la table, vous irez me chercher mon imper et je l’ enfilerai ici, personne ne verra rien, et ce n’est qu’une petite envie… c’est pas bien méchant -elle s’ interrompt un instant, me sourit- et de toute façon, même si cela ne vous plaît pas, c’est trop tard…..

Inutile de discuter…et je n’ai surtout pas envie de la contrarier.

Notre retour se fait de la même façon qu’à l’aller, à pied. Laissant derrière nous une chaise mouillée et les points d’interrogation d’un maître d’hôtel perplexe ; ma compagne d’un jour est heureuse, je le sais je le sens ; d’ailleurs, elle ne s’en cache pas.

  • C’est vraiment une journée faste pour moi, aujourd’hui ; et je vous dois beaucoup, mon petit Julien

Son petit Julien, il est heureux, lui aussi ; ses actions sont en hausse ! Faut dire aussi que je fais ce qu’il faut pour ! Et si elle me doit beaucoup, je ne demande pas mieux que d’être payé en nature, moi ! Et puis, j’aimerais bien qu’on se tutoie, maintenant, mais cela, je lui en laisse prendre l’initiative

  • Dites, cela ne vous gêne pas de marcher en étant … mouillée ?

  • Du tout, au contraire, et puis je trouve cela … comment dirais-je…

  • Excitant ?

  • C’ est un mot que je n’aime pas employer, du moins dans son acception sexuelle, allez, disons que cela me plaît, voilà tout.

Curieuse femme que cela dérange d’évoquer la sexualité ! Elle a pourtant été mariée, non ? J’avoue que j’ai du mal à la suivre ! Mais bon !

Nous voilà revenus chez elle

  • Maintenant, cela va être à vous de jouer, Julien, j’espère que vous avez une bonne envie à me consacrer…

Pour sûr que j’ai une envie à lui consacrer ! J’en ai même plusieurs !

  • Je suis à vous, Cécile

  • Alors, venez…

Je la suis, même chemin que ce matin, re-salle de bains ;

  • Vous allez continuer ce que j’ai commencé, allez-y, pissez moi sur les fesses, inondez ma culotte, soulagez-vous, j’en ai envie !

Cela tombe bien, moi aussi !

Elle me tourne le dos, relève sa jupe tachée et baisse un peu son slip ; alors, je m’exécute ; collé à elle, je lui arrose les fesses, j’inonde son cul, copieusement, consciencieusement jusqu’à la dernière goutte ; ah quelle joie ! À moi de prendre mon pied ! Sa petite culotte blanche ressemble maintenant davantage à une serpillière qu’à un sous-vêtement coquin !

Quand j’ai fini, elle se retourne avec un large sourire, en extase ! Du bout des doigts, elle retire sa culotte trempée, s’en débarrasse avec un geste plein de grâce et me prend les mains

  • C’est merveilleux, Julien, je crois que nous allons vivre des moments fabuleux, tous les deux ! Allez, laissez-moi prendre ma douche, je vous rejoins…

Ah oui, mais là, pas d’accord ! À mon tour de lui prendre les mains.

  • Vous savez que vous êtes très belle, Cécile, et diablement désirable…

Sa réaction ne me surprend qu’à moitié ; elle retire ses mains vivement

  • Qu’est-ce qui vous prend ? Lâchez-moi !

Oh, mais elle commence à m’énerver, la miss ! Avec ses airs d’en avoir deux ! C’est moi qui vais me lâcher !

  • Il me prend que j’ai envie de vous, chérie ! (oui, j’ose !) non, mais qu’est-ce que vous croyez ! Que vous allez vous balader, comme ça, à moitié nue devant moi sans qu’il ne se passe rien ? Mais je ne suis pas en bois, moi, je ne suis qu’un homme, et un homme qui va vous accompagner sous la douche ma belle, pour commencer …

Elle ne sait plus, Cécile ; elle reste un instant bouche bée ; ses yeux exorbités me lancent des éclairs mais la colère qui déforme son joli minois me la rend encore plus désirable ! Elle va me gifler, c’est sûr ou à tout le moins me jeter dehors ; et puis, non, elle se ressaisit, son visage se radoucit.

  • Non, Julien ! Écoutez, à en vouloir trop, nous risquerions de gâcher les bons moments que nous venons de passer ensemble ; je vous l’ai dit, vous me plaisez beaucoup et j’ai peut-être pour vous quelque chose qui ressemble à un beau sentiment, mais je n’ai aucune envie de faire l’amour avec vous, et puis de toutes façons, vous seriez déçu, et je n’ai pas envie de vous décevoir….

  • Déçu ? Pourquoi déçu ?

Elle hésite, me reprend les mains en soupirant…

  • Je suis ce qu’on appelle une femme frigide, Julien, je n’ai aucune attirance pour le sexe et faire l’amour ne me procure aucun plaisir, c’est même pour moi quelque chose d’assez pénible. Je fais un blocage psychologique… je ne sais pas ce que c’est que jouir. Je ne l’ai jamais su.

Ah bon, d’accord, je comprends mieux certaines choses… et là, c’est vrai que j’ai de quoi être déçu !

  • Et c’est depuis toujours ?

  • Depuis mon mariage en tout cas, mais je me suis mariée assez tard, avant je ne sais pas… Évidemment mon mari s’en est vite rendu compte, cela l’a mis dans une rage folle ! Il m’a fait subir les pires sévices, soit disant pour réveiller mes sens endormis, sans résultat autre que de me faire souffrir bien sûr ; mais j’ai toujours pensé que c’était plutôt pour me punir ; j’ai été très malheureuse, vous savez…

La pauvre, je compatis, sincèrement ; je ne supporte pas que l’on puisse faire souffrir une femme, quelle brute, ce type !

  • Mais cela doit se soigner ! Vous êtes encore jeune, et trop belle pour ne pas profiter des joies de l’amour et du sexe…

Elle a un sourire désabusé

  • Oui, peut-être, mais pour cela, il faudrait que j’aie une sérieuse motivation, que je n’ai pas…

  • Et justement, si c’était notre rencontre, le point de départ de votre motivation, je ne demande qu’à vous aider, Cécile, même sans parler d’amour, on peut très bien s’adonner à nos plaisirs sans pour autant s’aimer, c’est vous même qui l’avez dit… Mais vous me plaisez, Cécile, et moi je ne pourrai pas continuer notre relation sans avoir envie de vous… alors autant arrêter maintenant…

Elle ne répond pas ; ses mains serrent davantage les miennes, elle triture mes doigts, se mord les lèvres comme en proie à une lutte intérieure intense.

  • Oui, on va se revoir, Julien, souvent ! alors pour vous, je vais peut-être faire l’effort -son visage s’éclaire à nouveau d’un large sourire- et puis non, autant commencer tout de suite, pour TOI je vais faire l’effort, et tu vas m’aider….

Non ! Je n’ai pas rêvé ? Elle m’a tutoyé …oh joie ! Oh bonheur ! J’ai envie de la prendre dans mes bras, mais c’est elle la plus rapide, elle me tire par la main.

  • Au fait, nous ne devions pas prendre une douche, tous les deux ? Et en plus, j’imagine que tu dois avoir très envie de te soulager, non ? Et ça, je crois que je vais quand même pouvoir te rendre ce service ….

Je n’avais encore jamais pris de douche tout habillé ; elle non plus ; Ce fut donc une grande première que je ne suis -que nous ne sommes- pas prêts d’oublier.

Auteur Gigi

Cette ressource n'a pas encore été commentée.
Publicité en cours de chargement